Perdu dans les vents d'Orpale

Toshiki avait erré pendant longtemps dans les couloirs, et il finit par se perdre dans cet énorme labyrinthe. Il marcha donc pendant longtemps lorsqu'il remarqua une porte, du même style que le couloir, trônant au bout d'un immense couloir.
Il arriva devant la porte et regardant la poignée.

-Pas de serrure donc pas fermée à clefs. J'ai vraiment de la chance !

Mais au cas où, il entrebailla légèrement la porte et regarda ce qu'il y avait à l'intérieure. Lorsqu'il fût rassuré qu'il n'y avait personnes, il ouvra totalement la porte.
Derrière, il n'y avait rien qu'un escalier métallique derrière une porte ouverte et quelques caisses fermées et entassées les unes sur les autres. Ayant envie d'en voir plus, Toshiki passa la porte et monta les escaliers. Il dû les monter longtemps dans un vacarme dû au métal formant les escaliers.
Au bout d'un moment, il vit une autre porte lourde, mais ouverte, heureusement.
Pareillement, il entrebaîlla la porte mias elle s'ouvrit en grand dès qu'il eut tourné la pognée. Et rapidement, il en vit la raison : Des vents d'une force élevé soufflaient sur une plate-forme métallique, bâtit solidement pour éviter qu'elle ne se détruise.
Toshiki fut obligé de se protéger avec sa main tellement ils étaient violents. Il avança difficilement de quelques pas, pratiquement plié en deux et s'approcha de la rembarde pour regarder enfin à quoi ressemblait la planète d'Orpale, magnifique planète pourpe brillant de toute sa splendeur.
Toshiki fût ébahi et en oublia quelques instants les vents qui soufflaient contre lui. La seule chose qui lui fît reprendre raison est le sable que le vent rapporte et lui souffle dessus. Toshiki dût alors se protéger la bouche et, contre son gré, revenir vers la porte. Encore une fois, ses pas furent difficiles et il mit du temps pour remettre la porte en place.
Une fois la porte totelement fermée, le bruit violent cessa immédiatemment et Toshiki se reposa contre la porte blindée.

-Ah...ah...Il faudra que je pense à ne plus revenir par ici, il y a vraiment des vents violents.

Et une fois reposé, Toshiki repassa les escaliers et les couloirs jusqu'à retrouver son chemin.